Au Sénégal, à cinq jours de la tenue de législatives anticipées le 17 novembre 2024, le Premier ministre Ousmane Sonko fait polémique après la tenue de propos d’une rare virulence, ravivant le spectre de nouvelles violences. Sur Facebook, le chef du gouvernement et chef du Pastef appelle en effet ses militants à se « venger » après des agressions, menées, selon lui, contre ses supporters par des opposants en campagne.