Le gouvernement de la République de Guinée équatoriale a réagi fermement après la diffusion virale de vidéos à contenu sexuel explicite impliquant M. Baltasar Mbank Engonga, un haut fonctionnaire du pays. Ce dernier, dont les sextapes ont filtré et se sont rapidement répandues sur la toile, est accusé d’avoir mis en ligne des vidéos de nature intime, mettant en scène plusieurs femmes, ce qui a provoqué un véritable scandale national.
Le gouvernement a condamné vivement ces agissements, qualifiant ce comportement d’une “grave insulte” aux valeurs éthiques et morales de la société équato-guinéenne. Par ces actes, M. Baltasar Mbank Engonga aurait trahi la confiance et la responsabilité qui lui étaient confiées en tant que fonctionnaire de l’État. Les autorités ont immédiatement ouvert une enquête pour déterminer l’origine des vidéos et les responsabilités de chacun.
Les faits reprochés à l’accusé incluent, outre la violation de la vie privée des personnes impliquées, des accusations de corruption et d’atteinte à l’honneur et à la réputation des victimes. M. Baltasar Mbank Engonga est poursuivi pour ces délits en vertu de la loi N°1/2020 sur la prévention et la lutte contre la corruption, ainsi que pour des infractions en lien avec la cybercriminalité et la gestion des réseaux sociaux, conformément au décret-loi du 5 février régissant l’éthique dans la fonction publique.
Dans un communiqué officiel, le gouvernement a réaffirmé son engagement à protéger les droits fondamentaux des citoyens, en particulier ceux des femmes et des mineurs. Il a également souligné l’importance d’une réglementation stricte concernant l’utilisation des réseaux sociaux et a promis de renforcer les enquêtes en collaboration avec la société civile, afin de prévenir de tels abus à l’avenir.
Dans cette affaire, le gouvernement reste déterminé à réaffirmer les principes d’éthique et de respect qui doivent guider la conduite des fonctionnaires et des citoyens dans un contexte numérique en constante évolution.